Les sociétés de famille, très courantes dans le paysage économique suisse, soulèvent des questions tant pratiques que typologiques.
Cette thèse de doctorat fribourgeoise étudie la notion de société de famille et propose une approche comparative des solutions apportées par le droit des sociétés anonymes, souvent complétées par des conventions d’actionnaires d’une part, et par le droit des sociétés à responsabilité limitée, récemment révisé, d’autre part .
Les problématiques du sociétariat, de la gouvernance ainsi que la sortie, l’exclusion et la dissolution sont traitées sous l’angle de l’élément familial et de l’insertion d’éléments personnels dans une société de capitaux.
Les principales thèses défendues par l’auteur font l’objet d’une traduction en allemand et en anglais en fin d’ouvrage.